14 décembre 2014 à 15:36
Fêlés, vous avez dit fêlés !!! Y’a pas deux fêlés au VFC mais 6 !!!
Comme de coutume, les membres du VFC essayent de participer aux diverses manifestations proposées sur notre beau département Guyanais. Du marathon via le rugby flag voire touché en passant par le badminton, le VFC a su balader son paresseux sur toutes les surfaces de jeu.
En cette fin d’année 2014, le paresseux va aller tester le tartan du stade municipal de Kourou.
Ainsi certains membres du VFC ont décidé de participer à la seule et unique course de 100 km de France se déroulant sur piste : les 100 bornes du père noël.
Prônant comme toujours l’investissement personnel mais aussi collectif qui garde comme principes de bases l’amitié, le partage, la joie de vivre, l’esprit familial, le VFC devra rajouter le terme « fêlé » à la liste.
Eh oui 6 fêlés vont prendre part à cette course mythique du fait de sa rareté. Le vendredi 19 décembre prochain Anne, Sylvie, Thierry, Julien, Christophe et Arnaud enfileront leurs bottes de 7 lieues afin de venir à bout de ces 100 Kms.
Dans les contes de fées, « les bottes de sept lieues » sont des bottes magiques qui s’adaptent à la taille de celui qui les chausse et permettent de parcourir sept lieues en une seule enjambée soit 28 km.
Au XVIIe siècle, on appelait « bottes de sept lieues » les bottes utilisées par les postillons (les anciens facteurs). On pense qu’elles étaient ainsi nommées car les relais de poste étaient distants d’environ sept lieues.
Dans le langage courant « chausser ses bottes de sept lieues » veut dire se préparer à marcher, à voyager rapidement, ou bien connaître une ascension (sociale, professionnelle) fulgurante.
Quelles soient magiques ou non, « les bottes de 7 lieues » de nos fêlés ne permettront pas une ascension sociale ni même une colline puisque le parcours sera plus que plat. Elles apporteront qu’une seule missive en deuxième partie de nuit voire au petit matin pour annoncer la réussite de l’équipe. Elles permettront surtout à chacun de passer un grand moment de souffrance peut-être, de joie, de convivialité, et de partage à travers un exercice hors du commun.
La magie, la vraie, sera réelle et totale si les supporters venaient ne serait-ce que quelques minutes pour encourager et porter par la voix les 6 fêlés.
Alors à vos baskets, vos claquettes ou même pieds nus, le stade n’étant pas à 7 lieues de chez vous, passez quelle que soit l’heure, avant ou après la fête.
Les fêlés auront besoin de vous.
Commentaires